Simon Bensehila

Simon Bensehila est gestionnaire de projets culturels au service culture d’AMU. Curieux depuis toujours et bercĂ© avec les livres, les BD et la musique, son goĂ»t pour la rĂȘverie, parfois artistique, a rapidement constituĂ© l’un des traits de son caractĂšre. Cette curiositĂ©, hĂ©rĂ©ditaire, s’est rapidement tournĂ©e vers le théùtre, qu’il aime et pratique depuis le collĂšge, Ă©galement vers la guitare et le chant qui l’accompagnent aussi depuis bien longtemps. Il a eu envie de garder au centre ces inclinaisons vers le domaine culturel, et de construire autour, car elles sont importantes et pas uniquement pour lui (cf. le vide, silencieux, laissĂ© en ce moment par la fermeture de la plupart des institutions culturelles).

C’est pourquoi il a dĂ©cidĂ© de se former en « management des organisations et manifestations culturelles » Ă  l’IMPGT. À la suite de Son master, de courtes mais riches expĂ©riences successivement au théùtre de la CriĂ©e et dans le domaine socio-culturel l’ont confortĂ© dans mon choix, en parallĂšle de ce qu’il a pu vivre dans sa pratique personnelle. DĂ©sormais au service culture d’AMU, il participe depuis trois ans Ă  la construction de projets tels que « Et
 de revoir la couleur des coquelicots », au carrefour entre les rencontres, la pratique, la dĂ©couverte et la crĂ©ation artistique.

Simon BENSEHILA

Mon expérience du confinement

« Le premier confinement a Ă©tĂ© (un peu) plus facile que le second, son cĂŽtĂ© inĂ©dit et universel me poussait Ă  y voir le positif : le ralentissement du temps, l’opportunitĂ© de reprendre des projets personnels, de lecture de musique, de jeux aussi, puisque nous sommes dans le thĂšme. Les jours Ă©taient plus longs et permettaient des balades adoucissantes au crĂ©puscule.

Le second est plus prĂ©visible, implacable et sombre
 Il nous contraint Ă  rester au chaud, mais vivement qu’on ait froid ensemble ! »