

Johanna Zarli
Johanna Zarli a 22 ans. AprĂšs un bac littĂ©raire, elle a optĂ© pour des Ă©tudes de psychologie et termine un master 2 qui devrait lui permettre dâobtenir le titre de psychologue. En parallĂšle de ce master, elle sâinitie au portugais avec un diplĂŽme universitaire, une langue qui l’a toujours attirĂ©e ! Elle pratique la danse depuis lâenfance, classique et modern-jazz, d’abord en association puis grĂące aux cours proposĂ©s Ă lâuniversitĂ©, au centre sportif universitaire d’Aix en Provence, oĂč elle a dĂ©couvert le contemporain.
Elle fait partie de la compagnie DanseâAMU depuis sa crĂ©ation. Elle envisage de passer lâexamen dâaptitude technique (EAT) en danse en 2021 afin de continuer Ă se former.

Mon expérience du confinement
« Le confinement m’a fait l’effet d’un bon gros coup de poing, il m’a assommĂ©e. Cela nâa vraiment pas Ă©tĂ© facile de voir que tout autour de nous sâarrĂȘte, surtout lorsquâon a un quotidien dynamique, et des projets que lâon a attendus presque toute lâannĂ©e.
Lâune des choses les plus frustrantes pour moi, câest de ne plus pouvoir danser. Nous avons eu la chance de pouvoir continuer les cours en visioconfĂ©rence, ce qui mâa permis d’explorer et de dĂ©couvrir de nouvelles choses dans mes mouvements et dans mon corps, quelque chose de plus sensible et intime. Bien qu’Ă©loignĂ©s, nous avons pu continuer de partager. Jâai mĂȘme eu l’impression quâĂ distance, nous nous sommes rapprochĂ©s. Bien que voir le monde Ă l’arrĂȘt ait Ă©tĂ© anxiogĂšne, j’ai pu tirer de belles leçons de ce confinement et surtout que dans n’importe quelle situation, nous avons toujours quelque chose Ă exprimer ! »